Le Trophée de la Parisienne est une journée idéale pour les golfeuses addict,
Arrête donc avec tes mots en anglais, on comprend que dalle
les championnes des greens ou les joueuses détendues du swing qui ont envie d’enfiler leur shoes à crampons pour s’attaquer aux plus beaux parcours de la région parisienne. La formule de la compétition reste inchangée pour cette 4e édition qui se joue sur les 2 parcours de Joyenval.
Franchement, les joueuses détendues du swing, j’ai trouvé ça un peu foufou, parce que bien sûr, moi j’avais lu « détendues du string » (comme vous dans le titre, allez, arrêtez de mentir, on est entre nous). Alors je m’étais dit, ohlala, si ça s’trouve y sont pas si coincés que ça à Joyenval, et puis en fait non.
Constituez une équipe de deux copines, car la Parisienne se joue en :
Greensome Stableford. Départ en shot gun. Index: jusqu'à 36 maximum.
N’a pas compris.
Licence et certificat médical obligatoires.
Ca, ça va, j’ai tout bien capté, pis c’est pas bien difficile, hein, je vais faire un tour vite fait chez le bon docteur Robert et puis il va me le filer, mon certif’. Sans compter que le bon docteur Robert, il ne va pas tergiverser longtemps parce très franchement même lui, il se rend bien compte que tirer une charrette de marché en chaussures à crampon (même des fois tu marches même pas, tu mets la charrette sur une voiturette conduite par moderne esclave, et hop, en voiture simonette jusqu’au prochain trou), eh ben c’est pas vraiment du sport.
No dress code imposé. Au contraire: soyez chics, audacieuses, originales, inspirées, car l’Elégance est, comme chaque année, particulièrement bien récompensée.
Moi quand je suis audacieuse (bourrée, donc), j’arrive souvent dans toute ma splendide nudity (faut mettre des mots grands bretons, c’est plus staïle, tu vois ?) agrémentée seulement de savates molles surmontée de tête de lapinou ornées de strass (Je sais, ça fait beaucoup) Je sens que je le tiens, ce Prix du Chic…
Que l’Elégance soit sur vous.